Le Secrétaire général du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable, Monsieur Moulaye Brahim Moulaye Driss, a présidé ce vendredi 16 mai 2025, la cérémonie de clôture de l’atelier national dédié à la concertation, à la coordination et à la mise à jour des données du Système d’Information Environnementale (SIE). La rencontre s’est tenue au centre administratif de Tiguent, dans le département de Méderdra, en présence des autorités administratives et sécuritaires locales, des délégués régionaux du ministère, ainsi que des représentants des établissements publics sous tutelle.
Organisé dans le cadre des ateliers trimestriels initiés par la Direction de la Planification, de la Coordination et du Suivi des Programmes et Statistiques, cet événement s’inscrit dans la dynamique impulsée par Son Excellence Madame la Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Madame Messouda Baham Mohamed Lagdhaf, visant à renforcer l’efficacité du système national d’information environnementale et à consolider les efforts de terrain.
Pendant deux jours, les participants ont échangé autour de divers enjeux techniques et opérationnels liés à la gestion des données environnementales. Ces échanges ont permis de formuler plusieurs recommandations visant à améliorer les mécanismes de collecte, d’analyse et de centralisation de l’information environnementale à l’échelle nationale.
Dans son discours de clôture, le Secrétaire général a salué la qualité des travaux et souligné que « l’adoption de 21 indicateurs environnementaux en remplacement des 6 indicateurs précédemment utilisés, constitue une avancée significative vers un système d’information environnementale plus complet, cohérent et performant ». Il a également insisté sur la nécessité de renforcer la synergie entre les services centraux, les délégations régionales et les structures sous tutelle pour garantir la fluidité et la fiabilité des données collectées.
Enfin, Monsieur le Secrétaire Général a rappelé que « la collecte de données de terrain précises et actualisées reste une priorité pour les délégations régionales, car elle conditionne la robustesse de la base de données nationale et permet une prise de décision éclairée, fondée sur des preuves concrètes et vérifiables ».